30 Octobre 2018
Vous avez envie de découvrir le dynamisme de la CGT et vous avez raison !
Rejoignez-nous, et ensemble nous porterons plus haut nos revendications :
Les études, la qualification doivent être reconnues et rémunérées à leur juste niveau. C’est pourquoi nous revendiquons :
C’est pour cela que nous revendiquons :
L’usage intensif du numérique induit une disponibilité permanente et sans limite qui brouille la frontière entre vie professionnelle et vie privée. Il s’agit d’une remise en cause du fondement du droit du travail qui garantit que le lien entre le salarié et l’employeur doit être temporaire et délimité dans le temps. Or, aujourd’hui nous travaillons sans liberté, sans frontière.
Pour une meilleure utilisation du numérique et ses gains de productivité, nous demandons :
Les pressions de toutes sortes ont un prix. Il existe un lien entre la conception qu’ont les actionnaires du rôle de l’entreprise, c’est-à-dire la course sans fin à la performance qu’ils imposent aux cadres et la dégradation des conditions de travail qui atteint la santé physique et mentale des salariés. Nous demandons des droits traduisant une autre conception du management, fondée sur le plein exercice de nos qualifications, leur reconnaissance et le respect de nos responsabilités.
L’entretien professionnel devrait être préparé au sein du collectif de travail et les moyens mis à disposition par l’employeur devraient être discutés. L’évaluation des salariés devrait se faire sur la base de critères objectifs et transparents.
Un autre mode de management est possible. Il doit respecter les droits individuels et collectifs, permettre aux cadres de rester maîtres de leurs objectifs et de peser sur les moyens qui leur sont alloués pour les atteindre : une démarche plus juste.
Ingénieurs, cadres, professions techniciennes ou agents de maîtrise représentent 46 % du salariat. Un régime de retraite par répartition n’est viable que s’il est financé solidairement par tous dans l’intérêt de tous. Il doit donc garantir à chacun la continuité du niveau de vie atteint lors du passage de l’activité à la retraite. La validation des années d’études est aussi une mesure de justice sociale, car les études contribuent au développement économique et industriel du pays.